La nouvelle identité visuelle, imaginée par le graphiste Benoit Böhnke, est déployée en 2020. Flexible et facilement identifiable, elle repose sur deux composantes fondamentales : un vocabulaire de formes, pouvant être enrichi au fil du temps, et un principe de composition pour les associer.
Une série de formes, envisagées comme autant de moyens pour décrire des paysages fictifs, constitue la base de cette nouvelle identité. Les formes se déclinent selon différents traitements graphiques : celles produites à l’ordinateur coexistent avec des photographies détourées ou des dessins plus réalistes, qui font référence à la tradition de l’herbier. Leur pouvoir évocateur est pleinement mis à contribution lors de la constitution d’une bibliothèque d’images pouvant être enrichie au fil du temps.
Survolez les formes
À l’image des formes fruitières visibles dans le Potager du Roi, site historique de l’École nationale supérieure de paysage, une même forme peut se déployer différemment en fonction de l’espace et des contraintes qui lui sont données.
Les formes sont ensuite associées entre elles selon un principe d’imbrication. Les compositions qui en résultent peuvent alors s’envisager comme des cartographies imaginaires.
